En marge du Greentech Forum et d’une COP28 des plus désespérantes, des études pointent à nouveau la lenteur des réalisations ainsi que de nouveaux risques à venir, avec l’IA en particulier, mettant en péril l’atteinte des objectifs de sobriété énergétique des entreprises.
Les DSI le savent bien. Face aux événements économiques, géopolitiques ou sanitaires, et aux contraintes parfois inattendues qui en découlent, certaines de leurs missions de fond passent au second plan. C’est le cas, pour la plupart, de leur quête de sobriété numérique, si elle n’est pas sponsorisée au plus haut niveau. Et si elle n’est pas balayée par le vent contraire de l’IA générative, qui va de mise avec une augmentation de la consommation en ressources de calcul. Gartner prévoit même que d’ici 2030, l’IA pourrait consommer jusqu’à 3,5% de l’électricité mondiale.
La sobriété numérique à l’épreuve de la digitalisation de l’entreprise